Un Sommet qui coûte 7 millions d’euros mais qui fera gagner plus pour Madagascar

Madagascar, seul grand contingent démographique francophone au sein d’organisations régionales comme la SADEC, le COMESA ou l’indian Ocean Rim, offre une plateforme de projection d’une francophonie qui voudrait exporter vers l’Afrique Australe, linge et l’Asie. Mais si la francophonie a besoin de Madagascar, Madagascar a d’abord besoin de la Francophonie pour l’accompagner dans la mise en valeur de ses grandes réserves inexploitées , comme les 18 millions d’hectares de terres arables, qui lui laissent une bonne marge de croissance.
Un sommet de la francophonie est bien entendu un événement de prestige, mais également de solidarité et surtout une opportunité de développement.